La batterie virtuelle (ou "stockage virtuel") est la solution idéale pour maximiser votre autoconsommation solaire. Grâce à elle, vous pouvez stocker l’électricité solaire que vous n’avez pas consommée, pour l’utiliser plus tard. Résultat : vos factures d’électricité fondent comme neige au soleil, et votre installation devient rentable encore plus vite. Mais ce n’est pas tout : le stockage virtuel est aussi une solution bien plus économique qu’une batterie physique, tout en étant davantage respectueuse de l’environnement. Cet article ultra-complet vous dit tout ce qu’il faut savoir sur la batterie virtuelle : comparatif 2025 des meilleures offres, fonctionnement, prix, simulations de rentabilité, et bien plus encore. Bonus : on vous a déniché l’offre la plus avantageuse du marché (3 mois offerts).
Batterie virtuelle : maximisez votre autoconsommation solaire
Qui aurait imaginé qu’en 2025, les kilowatts produits sur votre toit seraient pilotés comme une playlist Spotify ? Green par le code, et zéro poussière dans le grenier. Bref.
Définition ultra-rapide
La batterie virtuelle c’est votre surplus d’énergie solaire stocké sans matos chez vous : tout file vers le réseau, vous récupérez vos kWh plus tard, sans une pile agrafée au mur. La version physique ? Une tonne de câbles et d’électronique qui s’use à chaque cycle. Ça ventile sec ce truc.
« Les panneaux solaires parlent entre eux pour optimiser vos heures creuses. »
Pourquoi c’est plus qu’une batterie physique
- Pas de matériel : Aucun caisson ni module lithium qui squatte le garage. Investissement initial quasi zéro, même votre chat ne remarque pas la différence.
- Optimisation temps réel : Le stockage virtuel, c’est du pilotage algorithmique : chaque watt est suivi à la trace, ajusté selon la demande réseau. Les datas font la pluie et le beau temps sur l’électricité dispo, pas un seul électron ne glandouille !
- Zéro déchet chimique : Pas de fin de vie polluante pour des batteries usées – ici, tout est géré côté réseau. Côté Éole oblige : stockage green par les protocoles numériques.
Instantané : qu’est‑ce qui se passe sur le réseau ?
Pendant que vous faites bronzette ou binge-watchez sous la clim’, Linky bosse dur. Ce compteur monte clairement en grade et devient manager de votre surplus énergétique. Il mesure chaque micro-excédent issu des panneaux, transmet l’info à ENEDIS qui encode vos droits d’usage différé et pilote la restitution en heures creuses ou quand vous êtes en mode gourmandise électrique.

Vous croyez encore que tout ça dort quand il fait nuit ? Faux – le réseau turbine derrière l’écran !
Anecdote tech : Un installateur a visionné sa production s’ajuster en direct via son appli mobile – une sorte de FOMO énergétique… alors oui, suivant la météo et les datas réseaux, chaque kWh virtuel retrouve son chemin comme un pigeon voyageur sous stéroïdes.
Comparatif 2025 : quelles offres de batterie virtuelle choisir ?
Personne n’a demandé un tableau Excel avec des smileys, alors voici le vrai comparo qui fait grésiller tous les installateurs. Les offres phares du stockage virtuel, disséquées comme une vieille GameBoy modée. Toujours plus green, toujours plus algorithmique.
Urban Solar Energy – Stockage Virtuel Boost Mon Surplus
- Tarif mensuel : 1 € HT/mois/kWc (soit 4,80 € TTC pour une centrale 4 kWc)
- Frais initiaux : Migration gratuite depuis Stockage Virtuel ; offre spéciale migratoire à 99 € TTC ponctuelle observée (hors modification réseau)
- Période d’engagement : Non verrouillée, passage possible d’une offre à l’autre sans frais
- Option ProPortal : Portail de gestion avancé pour prosumers ultra-connectés, suivi fin et paramétrage multi-sites.
Fournisseur | Offre | Prix/mois (TTC) | Durée d’engagement |
---|---|---|---|
Urban Solar Energy | Boost Mon Surplus | 4,80 €* | Libre |
*Exemple pour 4 kWc. Détail sur Urban Solar Energy - vendre votre surplus de production photovoltaïque
Dualsun – Offre comparatif & tarifs
Les mecs de chez Dualsun n’ont pas peur du challenge :
- Points forts :
- Compatibilité large avec installations jusqu’à 36 kVA (ça cause à la grosse prod’).
- Tarifs encore rares en TTC affiché public, mais souvent compétitifs HT, selon retours terrain.
- Interopérabilité photovoltaïque élevée, compatible onduleurs variés.
- Points faibles :
- Interface utilisateur moins léchée que MyLight ou Urban (avis clients = très mitigés sur l’UX).
- Support technique réactif mais flou sur la facturation multi-sites.
"Dualsun joue le volume et le prix plancher HT. Pour l’utilisateur classique = win si optimisé… sinon frustration liée à l’interface."
MyLight150 – MySmartBattery dès 15 €/mois
Direct au but : 15€/mois, pas un centime de plus pour démarrer (et pas besoin d’un doctorat en domotique !). Bonus :
- Services annexes inclus ou activables : MySmartHeating pour piloter le chauffage solaire, MySmartCharger dédié VE.
- Approche « plug & use », appli mobile suivie par des milliers d’usagers (vraiment ergonomique). Pas de frais cachés type activation ou migration.
JPME e‑Battery et autres options du marché
- JPME E‑Battery : Paiement unique sans abonnement mensuel (!), transfert des kWh possible en cas de changement de fournisseur, stockage illimité jusqu’à 36 kVA. Tarif rachat indexé spot vers 0,14 €/kWh – cash si vous vendez vos excédents.
- Alaska Pro : Offre pro/petite entreprise; stockage mutualisé façon cloud énergétique; tarification sur-mesure en fonction du profil conso et puissance installée.

Anecdote vraie : Un client Alaska Pro a détourné la fonction mutualisation pour recharger sa flotte de vélos électriques à distance—alors que la plupart pensaient juste stocker leur café matinal… Bref, tout est possible si on bidouille assez longtemps.
Fonctionnement technique de la batterie virtuelle
Impossible d’imaginer qu’un flux de photons sur votre toiture déclenche une mécanique algorithmique aussi millimétrée – pourtant, c’est du vécu. La batterie virtuelle, c’est le code qui te rend l’autonomie énergétique quasi magique. On démonte tout ça en mode punk-gentil :
Le rôle du compteur Linky et d’ENEDIS
Le compteur Linky, cet ex-flic du réseau, s’est muté en manager digital : il relève vos excédents solaires quasi en live (relève télérelevée toutes les 30 minutes, et parfois plus finement pour les offres pros). Chaque kWh exporté est flashé, daté et envoyé à ENEDIS, le vrai orchestrateur de la partition électrique française.
Ce n’est pas juste une transmission bête : ENEDIS calibre le réseau côté tension/fréquence et synchronise les datas avec votre fournisseur d’électricité verte. C’est là que la « batterie virtuelle » sort son tour de force. Elle recoupe météo live, historiques conso et variations du marché pour anticiper vos besoins – oui, certains algos prédisent réellement la météo locale mieux que Météo France (personne ne voulait y croire avant 2022, mais c’est testé sur sites pilotes MyLight & Urban Solar). Résultat : restitution optimisée au quart d’heure près. Bref.
Résumé clé : Sans Linky et ENEDIS pour orchestrer la data, l’intelligence énergétique serait sourde-muette.
Comptabilisation des kWc excédentaires
Chaque kilowatt-crête (kWc) non auto-consommé passe au scanner Linky : il distingue base/heures pleines/heures creuses, puis trace l’excédent vers un espace virtuel crédité – pas juste un chiffre dans le cloud :
- Heure par heure, toute exportation est créditée selon ta plage horaire (tarif base/HP/HC).
- Rapport détaillé transmis à ton fournisseur via ENEDIS, audit possible sur simple demande (oui oui… même les pointilleux peuvent vérifier !).
- Le stockage virtuel découpe tes droits-restauration selon le moment où tu veux consommer.

Pilotage et restitution en heures creuses
La nuit tombe ? T’as envie de faire tourner ta machine à laver pendant ta série préférée ?
Côté digital, ça ventile sec :
1. Relevé du surplus solaire par Linky (quart d’heure ou 30 min).
2. Enregistrement automatique chez ENEDIS – chaque kWh dispatché en fonction de ton contrat (base/HP/HC…)
3. Restitution : en mode digital rebond, tu réclames tes crédits stockés dès que tu tapes dans le réseau aux bonnes heures (souvent heures creuses/nocturnes). L’algo ajuste la réinjection à la minute près.
- Tu récupères donc ton propre jus quand l’électricité coûte moins cher – ou pile quand t’en as besoin. Le tout sans lever le petit doigt.
- Bonus insolite : certains fournisseurs adaptent même l’ordre de priorité selon les habitudes domotiques repérées dans tes données.
Alerte critique : Si tu ne consommes pas ton stock assez vite (ou si météo capricieuse), certains contrats limitent la durée de validité des crédits énergétiques…
En vrai : c’est comme piloter sa consommation avec une app banking ultra-réactive version kilowatt.
Avantages et limites du stockage virtuel
Voilà la partie où on démonte le mythe de la batterie invisible – spoiler : tout n’est pas aussi rose qu’un panneau flambant neuf. À table, les datas !
Gain sur la rentabilité et l’empreinte carbone
La promesse est claire : le stockage virtuel, c’est 0% matos à produire, 0 lithium balancé dans une filière obscure à la fin de vie, zéro camionnette pour la maintenance. En opposition, chaque kWh stocké physiquement coûte environ 70 kg CO₂ sur son cycle (prod, transport, recyclage) Source: choisir.com. Le virtuel ? On tombe sous les 10 kg CO₂/kWh (essentiellement dûs aux serveurs/infra réseau – oui ça existe quand même). Donc :
☀️☀️☀️☀️⭐ (4/5) pour empreinte carbone
"Le stockage virtuel évite l’extraction minière et le circuit-poubelle des batteries usées. Pas parfait mais assez green pour foutre un coup de vieux aux batteries standard."
Absence de matériel, confort d’usage
Adieu ventilateurs d’onduleur qui tournent comme des moulins hystériques et piles au lithium qui chauffent la baraque. Côté virtuel, aucun bruit, pas un composant qui clignote dans le salon : c’est juste vous, vos datas et un peu de code bien propre. Pas de nuage chimique au sol, pas d’entretien planifié tous les ans… Côté usage pur : moins tu manipules, moins tu crames d’énergie grise.
- Pas de batterie
- Pas de ventilation
- Pas de frais d’entretien
- Aucune pièce mobile ni risque incendie domestique (coucou Tesla Powerwall…)
- Interface digitale accessible partout sans déplacement technique Stockage virtuel - Terresolaire

Risques et conditions d’éligibilité
OK ça ventile fort côté avantages… mais il y a des angles morts qui piquent :
- Faut ABSOLUMENT un compteur Linky (si t’as encore un vieux compteur à disque, oublie direct).
- Raccordement ENEDIS obligatoire (bye-bye si t’es chez une régie locale hors périmètre national).
- Installation solaire récente validée par Consuel (les bricoleurs non certifiés se font recaler direct).
- Zone géographique couverte oblige : certains DOM-TOM ou coins reculés restent blacklistés.
- PAC ou gros poste électrique ? Il faut que l’infra supporte les échanges bidirectionnels sinon tout part en fumée réglementaire.
Tarifs, économies et rentabilité en 2025
Le marché du stockage virtuel a décidé de casser les codes – fini les offres poussiéreuses et les tarifs opaques. Ici, chaque euro compte (surtout pour vos watts !). Place au démontage sec :
Coûts d’abonnement mensuel et frais d’installation
Les abonnements, ça swingue entre le simple et le quadruple selon l’agressivité commerciale du fournisseur. La grosse surprise : certains affichent tout « frais inclus », d’autres planquent leur activation dans les petites lignes. Bref, checkez le tableau sinon vos économies partent en fumée algorithmique.
Offre | Abonnement TTC/mois | Abonnement HT/mois | Frais d’entrée |
---|---|---|---|
MyLight150 MySmartBattery | 15 € | ~12,50 € | 0–179 € (offre promo possible) |
Urban Solar Energy | 4,80 € (pour 4 kWc) | ~4 € | 0–99 € |
JPME E‑Battery | Aucun* | Aucun* | Paiement unique (env. 599–699 €) |
*JPME fonctionne sans abonnement mais paiement unique élevé à l’entrée (à partir de 599 € TTC selon options).

- Attention à certaines offres qui facturent des frais cachés lors de la migration ou en cas de résiliation anticipée (ces CGV font saigner les yeux !). Plus de détails : Comparatif tarifs batterie virtuelle - RR Energy
- Les prix s’étalent généralement hors TVA sur certains sites, il faut donc toujours calculer la douloureuse avec +20% pour éviter la mauvaise surprise sur votre relevé bancaire.
Comparaison TTC vs HT
La TVA, ce n’est pas juste un détail…
- Un abonnement annoncé à 15 €/mois TTC revient à ~12,50 €/mois HT. Sur l’année : 180 € TTC vs 150 € HT.
- À 20€/mois TTC, c’est ~16,67€/mois HT; soit 240€/an TTC contre 200€/an HT.
Ça paraît basique mais croyez-le ou non : la moitié des devis envoyés oublient l’impact du hors taxe… Et derrière, on râle sur la facture comme si le soleil avait bugué.

Pour juger une offre vraiment compétitive : exigez le tarif sur votre vraie facture (TTC) plutôt que les chiffres alléchants hors taxe – tout le monde s’y fait piéger au début.
Simulation de ROI sur 5 à 10 ans
On balance un vrai exemple – pas un tableur Excel fumeux :
- Installation solaire : 3 kWc
- Batterie virtuelle : MyLight150 à 15 €/mois TTC
- Production annuelle estimée : ~3 300 kWh
- Autoconsommation accrue grâce au stockage virtuel : +50% par rapport à l’absence de batterie (donc environ +1 650 kWh/an valorisés au lieu d’être perdus).
- Économie annuelle directe (évite achat réseau à ~0,22 €/kWh): 363 €/an économisés
- Coût batterie virtuelle/an : 180 € TTC
- Gain net/an : 183 €/an, sans compter l’augmentation attendue du prix du courant réseau !
- Sur 10 ans, si rien ne bouge côté tarif (spoiler : il y aura inflation), vous récupérez environ 1 830 € net, tout bonus dans la poche solaire.

Un conseil perso ? L’inflation électrique va booster encore plus ce ROI. Rater la vague maintenant = regret dans trois hivers… Et n’oubliez pas : certains installateurs gonflent leurs simulations avec des hypothèses optimistes (genre météo d’Ibiza tous les étés). Soyez parano sur les prévisions, mais profitez du cumul sur le long terme si vous restez raccordé et que la domotique suit.
Comment souscrire et installer votre batterie virtuelle
On entre dans le dur : déployer une batterie virtuelle, c’est pas juste cliquer sur "J’accepte". Côté paperasse, ENEDIS garde la main, mais tout passe par un jeu d’acteurs digitaux. Spoiler : aucun tournevis à prévoir, mais des signatures numériques qui claquent !
Étapes administratives et raccordement
Voici le process – sec, efficace, sans chichi :
- Demandez un devis auprès du fournisseur de batterie virtuelle choisi (MyLight, Dualsun, JPME…). Il va jauger votre puissance installée et confirmer que vous êtes raccordable.
- Signez le contrat ENEDIS via mandat digitalisé (souvent tripartite avec l’installateur et le fournisseur). L’installateur peut directement s’occuper de la paperasse si vous lui filez procuration.
- Accord ERDF/ENEDIS : Attendez la validation de raccordement (en vrai, c’est souvent plus long qu’annoncé… patience !).
- Activation Linky : Votre compteur Linky passe en mode manager énergétique (télérelevé activé toutes les 30 minutes minimum).
- Interface digitale énergies renouvelables : Vous recevez l’accès à une appli web ou mobile pour suivre vos crédits kWh virtuels en direct.

Note hardcore : comptez 15 à 30 jours minimum entre la signature et l’activation réelle côté réseau. Les installateurs sur-sollicités bâclent parfois les dossiers ; restez aux aguets pour relancer ENEDIS si besoin FAQ MyLight150 - Activation MySmartBattery.
Démarches avec votre fournisseur actuel
Ici, c’est le scénario Netflix version transition énergétique :
- Transfert de contrat obligatoire chez la plupart (sauf rares mutualisations). Résultat : vous quittez EDF OA ou TotalEnergies pour Dualsun, MyLight ou JPME…
- Zéro matériel à installer, ni sur le toit ni au tableau électrique – tout se joue dans les serveurs. Même pas besoin d’un déplacement technicien chez vous.
- Le fournisseur pilote vos flux : il synchronise données Linky + production solaire + stockage virtuel et gère la restitution selon tarif/heure creuse au millimètre près.
- En cas de retour arrière ? Certains opérateurs permettent de transférer vos kWh stockés vers un nouveau contrat si vous changez d’avis ou de crèmerie (voir JPME E-Battery).
Faut le dire : EDF ne proposera pas ce service sur son offre historique OA ; il faut migrer vers un acteur spécialisé Guide batterie virtuelle - Dualsun.
FAQ technique rapide
Q1 : Mon vieux compteur fonctionne-t-il avec une batterie virtuelle ?
Non ! Sans Linky = zéro data = zéro stockage virtuel.
Q2 : Je peux revenir en arrière après souscription ?
Oui, MAIS… chaque fournisseur a ses CGV : il y a parfois des frais cachés ou perte des crédits non utilisés.
Q3 : Peut-on cumuler batterie physique ET batterie virtuelle ?
Parfois oui mais c’est rare et complexe niveau règlementaire. Renseignez-vous avant de vouloir jouer au hacker énergétique...
Quelle batterie virtuelle choisir pour votre installation solaire ?
Petit appart sans garage ? Urban Solar Energy ou Dualsun te suffiront pour piloter tes kWh en mode discret, sans prise de tête ni gadgets inutiles. Toit pro ou TPE blindée de panneaux ? MyLight150 et JPME e-Battery sortent les muscles – gestion fine, options domo à gogo, et passage entre fournisseurs sans perdre ton stock. Analyse bien les conditions, mate les CGV (vraiment). Bref. Green par le code, go stocker !